Sommes-nous tous fous ?
Sommes-nous tous fous ?
Le marché des psychotropes rapporte gros. L’alliance entre la psychiatrie et les firmes pharmaceutiques leur a permis de réaliser plus de 80 milliards de dollars de ventes de psychotropes. Mais les apparences sont trompeuses.
Que valent les diagnostics psychiatriques, et jusqu’à quel point ces psychotropes sont-ils sans danger ?
Les psychiatres nous disent que pour remédier à un comportement non désiré, il faut altérer la composition chimique du cerveau au moyen d’une pilule.
Mais contrairement aux médicaments traditionnels comme l’insuline, les médicaments psychotropes ne peuvent se baser sur des maladies physiques mesurables pour corriger quoi que ce soit et risquent en fait de perturber l’équilibre biochimique délicat qui permet au corps de bien fonctionner.
Cependant, les psychiatres et les firmes pharmaceutiques utilisent ces médicaments psychotropes, ce qui développe un marché lucratif.
Ainsi, de plus en plus de comportements non désirés sont étiquetés comme « troubles mentaux » nécessitant des médicaments psychiatriques.
Mais s’agit-il vraiment de maladies ?
La question qui se pose alors est la suivante :
Comment se fait-il que les médicaments psychotropes, qui ne guérissent aucune maladie précise et qui créent de nombreux effets secondaires, deviennent le traitement par excellence de toutes sortes de souffrances psychologiques ?
Et comment se fait-il que les psychiatres, en utilisant ces drogues, soient passés maîtres dans le domaine des traitements des troubles et maladies mentales ?
Ce documentaire en trois parties d’une durée de 3 heures, révèle des faits derrière une campagne de marketing habile et soit-disant scientifique qui dissimule une campagne de vente de produits dangereux et parfois fatals.
Notre santé est un business comme un autre qui rapporte des milliards. C’est ce que vous découvrirez en visionnant cette vidéo A voir absolument ! sur :
Le marketing de « La folie »
Pensez à la télécharger sur votre bureau pour la regarder sans interruption :
A quand des psychotropes qui font du bien et qui permettraient d’éviter des morts prématurées ?
Beaucoup de personnes fragiles meurent à petit feu de dépression ou d’angoisse.
On pourrait ajouter la stigmatisation, une souffrance supplémentaire pour les blessés de l’âme.