Partie 2 : Nourrir un bon état d’esprit
Cet article est la suite de Nourrir un bon état d’esprit Partie 1.
Qu’est-ce qui vous semble juste ?
Voici l’exemple de Cécile « l’optimiste » et Roseline dit « la négative », qui sont toutes les deux mères et foyer et ont une quarantaine d’années quand elles perdent leurs maris. Ces deux exemples illustrent parfaitement ces attitudes antagonistes.
Roseline est mère au foyer, elle a 40 ans , son mari vient de décéder et son premier réflexe est de revêtir aussitôt le costume de « tragédienne ». Pendant des années, elle n’a eu de cesse de demander autour d’elle soutien, compassion et marques de sympathie. Comme vous pouvez facilement l’imaginer, est arrivé le moment où plus personne ne pouvait supporter cela. Roseline s’est alors intimement convaincue que les femmes veuves faisaient partie d’une catégorie de personnes que l’on fuit et que l’on invite jamais nulle part. Elle a fini par croire dur comme fer qu’elle ne trouverait plus quelqu’un pour refaire sa vie. Vous ne vous étonnerez pas, je pense, qu’effectivement aucun homme ne soit entré dans sa vie.