La Vie des Maîtres
Ce livre raconte l’expédition scientifique de Baird Thomas Spalding parti rencontrer des Maîtres orientaux réputés pour leurs incroyables facultés paranormales. Ce livre, qui anticipe sur les progrès spirituels indispensables pour éviter l‘effondrement de notre civilisation matérialiste à outrance, a été édité pour la première fois en 1921…
Préface :
Le 22 décembre 1894, onze scientifiques américains se réunissent à Potal, petit village de l’Inde. Sceptiques par nature, ils n’acceptent aucune vérité a priori, mais certains phénomènes religieux les intriguent. Ils décident de vérifier de leurs yeux les prodiges accomplis par les Maîtres orientaux. Car en Inde, au Tibet et au Népal existent des hommes aux facultés étonnantes qui communiquent à distance, voyagent par lévitation et guérissent les infirmes. Les savants découvrent, peu à peu fascinés, des lois physiques et psychiques encore inconnues : grâce à une ascèse aux règles bien établies, l’esprit devient capable de maîtriser la matière, et même de quitter son enveloppe charnelle. Au contact de cette hiérarchie invisible des Maîtres de sagesse, ils commencent un itinéraire spirituel qui va les mener à la découverte de leur Moi profond, intemporel et éternel.
Lors de sa publication, cette histoire, unique en son genre, a pu paraître une pure fiction, mais depuis les esprits ont évolué pour le prendre plus au sérieux. Ce n’est qu’en 1946 que ce livre fut présenté au public français par Jacques Weiss, un polytechnicien, qui a traduit l’ouvrage sous le pseudonyme de Louis Colombelle. « La Vie des Maîtres » avait pris une telle importance dans la pensée de ce polytechnicien qu’il entreprit en tant qu’ingénieur d’aller contrôler sur place l’affirmation de Spalding.